5 mai 2007
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Donner la vie |
Créer la vie > voilà une idée quelle est plus que merveilleuse ! De participer à l'acte de vie via la procréation désirée est libre pour un être humain. Un désir qui est mué et innitié par l'envie d'élever et de poursuivre la lignée, en qelques sorte. Malheureusement, parfois souvent, le désir n'est pas là, malgré cela des milliers d'enfants naissent quand même.. Par la présence de l'intelligence chez les êtres humains il devrait y avoir un juste équilibre ? En quelques secondes l'acte est réalisé et hop un enfant est conçu et c'est si facile car ça se passe tout seul (pour les êtres féconds), dans le corps de la femme. L'homme ne se soucie guerre de savoir si il a envie d'enfanter ou pas puisque de toute façon ce n'est pas lui qui porte l'enfant ! Concevoir la vie et attendre les 9 mois de gestation/formation du nouvel être humain à naître est une entreprise qui ne demande qu'une seule chose : juste y penser et si possible avant. Oui mais voilà, la réalité de la vie est là pour nous rappeler ce qui est. Trop souvent encore la variable pi8* de la vie à venir, parmis nos congénères est flouée, indécise et ambigue. * La variable pi8 c'est en quelque sorte : l'abstraction absolue Donner naissance à un enfant, c'est l'ultime concept de la vie elle-même. En subtance c'est la magie procréatrice et la nature conceptuelle de la vie qui s'opère dans le ventre de la femme ou de tout autre être vivant et vivipare. La femme (femelle) possède un organisme maternel qui participe pleinement à la formation d'un embryon, puis d'un foetus qui se développe et évolue dans le corps de la mère au terme de la gestation. Dès la seconde où un enfant apparaît au monde libre, il est livré à lui même. Il est aidé et suivi tout au long de la phase évolutive de son existence vers sa forme adulte, par ses parents. Combien d'enfants qui viennent au monde sont les conséquences d'un oubli, d'une erreur, d'une non intention... et après que reste t-il ? Les suites de ce genre d'état d'être font que l'enfant, puis l'adulte, peut ressentir au cours de son existence, comme une gène, un manque, un dû non reçu. Il peut aussi être et devenir un souci ambulant, un être incompris et/ou innutile car dénué des essentiels. Regardez le nombre d'enfants, qui, depuis des dizaines d'années naissent pour juste survivrent et non plus pour vivre. Regardez tous ces enfants qui errent et vagabondent, sans rien, sans amour ni avenir, sans foi ni loi. Regardez ce que peuvent devenir, potentiellement, un certains nombre d'entre eux. L'insolence, l'incivisme et la violence prenne vie en ces enfants et lorsqu'ils deviennent des adultes, ils ont de grandes chances de devenir > tout sauf des personnes humaines équilibrées. |
Succédanés de parents ? |
Créer la vie c'est aussi donner de soi et ce pendant de nombreuses années, afin d'assurer et d'assumer cette responsabilité. Dans cette entreprise nous avons des atouts pour mener à bien notre mission de parents : le bon sens de l'expérience, la raison et l'état d'être ainsi que la conscience d'un équilibre vital à fournir à l'enfant de la part des parents, si possible, les deux ensemble. Créer la vie : c'est aussi se positionner dans le temps, face à soi-même et/ou à sa moitié, en se posant les questions essentielles ; - l'enfant est-il réellement désiré ? - est-on capable d'élever et d'éduquer un enfant ? - pouvons-nous assumer la charge et la responsabilité d'un enfant ? - suis-je capable de devenir un père ou une mère, ensemble ? Les adultes qui sont de potentiels futurs parents le savent déjà à l'avance et il peuvent s'y préparer. Mais la réalité nous prouve que bon nombre de parents ont démissionnés ! Car si on réfléchi avant de concevoir un enfant, c'est alors un désir et non plus un poids.. Etre capable d'élever un ou plusieurs enfants est un rôle, un apprentissage, une responsabilité autant qu'un accomplissement. De nos jours, beaucoup de personnes aurait la capacité de déterminer avant l'acte, le désir et la charge d'un enfant. Malgré tout des milliers d'enfants naissent quand même et les parents n'éduque plus l'enfant mais il l'élève comme il le peuvent, sans être conscient de leur rôle. Etre parent demande un minimum de soi pour donner au moins l'essentiel à un enfant ; amour & soins Je distingue trois choses qui sont importante dans le relationnel enfant-parent : - amour - équilibre / éveil - éducation / instruction. Malheureusent il est manifeste que notre humanité se désagrège vis à vis des humains irresponsables qui continue à donner la vie pour ne pas la respecter, par insouciance. |
Regard ouvert |
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Voyez les dégâts : tous ces milliers d'enfants, de part le monde (la plus part du temps dans des pays sous-développés mais les autres pays dit civilisés et structurés sont aussi concernés), qui naissent et qui grandissent, comme il le peuvent, dans des conditions de désordre (de tout ordre). Cet état de fait porte un nom : laxisme. Et ceci se produit et se reproduit avec d'autres phénomènes, tels que : - la pollution environnementale mondiale, les conflits de frontières, les divergences et discordes violentes envers les religions, etc.. Dans de nombreuses villes, à chaque minute, des petits êtres naissent et on le sait déjà, ils n'auront pas droit aux mêmes libertés fondamentales, dont d'autres enfants jouissent, comme par exemple : - l'hygiène et l'accès à l'eau. Pouvons-nous continuer d'accepter ça ? Les futurs mères doivent êtres réalistes et conscientes de leur état, de leur condition, de leur possibilités et ainsi de pouvoir être à même de donner la vie ou pas > en connaissance de cause. Le mieux étant de prendre ses précautions, avant. Je pense que c'est aux hommes, à eux principalement, d'adopter une attitude un peu moins irresponsable dans les rapports charnels dédié au sexe et non à l'enfantement. Un des axes majeurs des enfants pi8 : - pour l'homme : le laisser aller au plaisir, sans condition, par l'éjaculation dans le sexe de la femme, sans protection anti-procréation (condom, préservatif). - pour la femme : la non prise de contraceptif (si accepté par son corps et son porte-monnaie) et si non, sans protection vaginale. Pour donner une idée du phénomène pi8 dans le monde, voici une liste, à vue, des pays concernés : - le continent africain (la plus part es pays) - l'inde & l'indonésie (la plus part des pays) - l'amérique du nord et du sud (certains pays) - L'asie (certains pays) - l'europe de l'est (certains pays) |
Quelques mots sur l'IVG |
Il y a celles et ceux qui "refusent" le principe ou l'idée de l'ivg. Il y a celles et ceux qui ne sont pas dircetement concerné par l'ivg mais qui militent pour ou contre cette pratique "sensible". Le "malaise" à propos de l'ivg réside surtout dans le fait que par le libre choix de la mère, la vie potentielle d'un être humain à naître s'en voit stopée. Le regard purement basic de la vie nous pousse à la préserver et l'ivg nous pose un dilemme car équivoque du fait que l'erreur est humaine > dès la conception non désirée jusqu'au choix de ne pas laisser se poursuivre le processus de vie de l'embryon ? Le stade auquel une ivg intervient est lui aussi sujet à caution, d'un point de vue éthique et médical. L'ivg est perçue comme étant un acte délibéré et c'est au nom d'un principe supposé que nous jugeons comme étant bon ou mauvais, en notre âme et cosncience selon l'appréciation qui repose sur des éléments, facteurs et concepts. Pour le moment, en 2008, les avis divergent et l'ivg est vécue pour certains comme étant un crime ou bien une liberté. Chacun est libre de se forger une opignon, certe, mais le consensus sur l'ivg doit exister afin de pouvoir contrôler après l'oubli, si oui ou non l'enfant à venir aura, de la part de ses parents, amour, protection, éducation et charge ? Ce qui nous intéresse ici c'est d'essayer d'accepter un état de fait, sans état d'âme. Une femme qui est en situation (enceinte) sait, qu'en l'an 2000, elle a le choix, grâce à la technologie médicale, d'aller à terme ou pas de sa grossesse. Une femme qui attend un enfant reste le seul maître à bord. Rien ni personne ne peut s'arroger un droit de regard sur la liberté d'action de son corps et de son esprit. C'est un droit fondamental que tout être doté du bon sens reconnaît comme étant universel pour tous. Pratiquer l'ivg ou pas dépendent de facteurs réel et irréfutables : il est question pour la femme enceinte de savoir si elle pourra moralement, physiquement et financièrement assumer l'enfant ? Si tel n'est pas le cas, elle peut alors décider de "réparer" avant qu'il ne soit trop tard. On peut dire ceci ; les circonstances de vie future d'un enfant à naître sont connues à l'avance et la femme a le choix de poursuivre la grossesse et donc de donner la vie à un être sans pour autant pouvoir réellement être capable d'assurer la suite, ou pas. Par excès de lucidité et/ou autres réflexions intimes et personnelles, tout être, femme porteuse ou pas, à le choix, le choix de décider. Le choix est crucial, car le petit être, si il naît, sera peut-être un être non désiré, pour quelques raisons que ce soit ou bien au contraire, l'enfant n'était pas voulu ni attendu, néanmoins, on s'adapte et on s'ouvre à l'amour de l'être, c'est inné pour une femme (il y a des exceptions, comme dans tout). |
La conscience d'un état d'être > alternatif et relatif |
A l'état embroyonnaire un être n'est pas encore réellement un être finit, il n'est en réalité rien d'autre qu'un amalgamme. En revanche, dès le stade du foetus, il y a là matière à concrétiser le réel début d'un être humain en formation. Nous sommes perplexe façe à cette notion et état de vie. Et c'est à cause de cette perplexité que l'ivg sème la zizanie dans la conscience de notre socité humaine actuelle. Dans l'absolu il vaudrait mieux parfois acceder à l'idée et ainsi d'en accepter le fait que de faire une ivg. Car si un enfant naît pour mener une existence qui n'a de nom que le mot et qui est dénuée d'amour ainsi que d'un minimum d'équilibre, alors, nous devons accepter notre condition et certe être en vie, mais à quel prix. Je pense que nous devons nous ouvrir à la réalité du monde actuel, sans se voiler la façe afin d'y voir clair et d'accepter l'innaceptable, à nos yeux, par exemple de ne pas dire oui ou non à l'ivg, mais simplement de respecter le choix personnel de vie de chacun. |
Raisonnance |
C'est grâce à notre conscience que nous arrivons à percevoir et concevoir les choses de la vie et cela dans tout ce que nous faisons, entreprenons et interpretons. Lorsque l'on sait que l'intelligence peut oeuvrer dans tout ce qui existe, nous devons alors porter des considérations et ainsi de distinguer la notion des valeurs. Etre possédé... non pas des forces démoniaques, mais plutôt par quelque chose somme toute d'asser simple, à savoir : la lucidité de la réalité vis à vis de l'enfantement et de ses suites. Nous sommes tout à fait capable de discerner les "choses" de la vie et de promulguer ce qu'il convient. Le truc c'est que beaucoup d'humains ne le savent pas, car pas de consience de vie en eux, enfin... pas décelée ! Souvenons-nous qu'un enfant, comme un animal, n'est pas un jouet et que nous devons savoir qui nous sommes avant et non pas après. C'est-à-dire ; réfléchir avant d'agir > c'est fou comme cet addage universel, si il était appliqué, aussi bien dans les gestes de tous les jours qu'au travers des actions & entreprises qui touchent la planète, changerait du tout au tout l'humanité en un "rien de temps". >>> Dors (F-Pagny) (éb 1c) |
j.l. 2008 |