4 février 2008
1
04
/02
/février
/2008
14:08
 |
| L'intrigue du Gould (extrait du 112ème cahier de la grande exode vers les rives d'Arlandes) |
| Courant d'air Parfois je me demande ou je vais dans cette ville où les lumières ne s'éteignent jamais, dans cette ville que je connais ou je sais le jour suivant.. Il y a même des jours l'air est presque irrespirable tant il est chargé de particules toxiques et pourtant, les personnes continuent à le respirer, bon gré mal gré... Avec ça et les autres bricoles pas très rassurantes de notre temps (conflits, viol, droits h, attentats,..), certains ont peurs, d'autres deviennent des nuisibles. Les moeurs des ethnies sont de tout accabi, il existe une riche palette des couleurs d'ou il en ressort de nombreuses nuances plus ou moins opaques. Dans les villes, il y a le flux... et on est de suite englué si on naît parmis eux. Il y a tous ces gens pressés qui vont et qui viennent et qui traverssent les brumes de l'ozone. Il y en a qui ne prennent même plus le temps de vivre, tant ils sont : accaparé, dispersé, stressé, etc.., par des modes de vies, des idées préconcues, des contextes et ambiances et de noirs desseins pour quelques uns.. Il y a celles et ceux qui subissent et qui survivent. Il y a les dominants et les dominés, selon l'entente et le degrés de développement. Il y en a aussi celles et ceux qui sont dénués de tout profil de vie. Il y a celles et ceux qui en oblient juste de profiter de l'existence et ils mènent un semblant de vie, peu avenante, car pas d'avenir, alors qu'il y a tant à découvrir.. La vie est comme le disait mère Teresa "un incessant combat" "une épreuve, des étapes". Dès la naissances on s'engage à essayer de rester en vie, puis pendant le cours de son existence on peut être amené à avoir d'autres idées. Beaucoup cherche des échappatoires pour aller ailleurs en étant là, ou alors réellement loin loin loin.. Je rêve d'être dans un endroit ou je n'entendrai plus les bruits et tous ces cris qui me tuent lentement disait le sourd à l'aveugle. Là ou il n'y a pas de heurts ni de lumières agressives, là ou les harmonies des sons de la nature seraient partout tout autour, là ou je pourrais assouvir cette envie de respirer. Et puis.. sachant tout cela, l'autre soir je suis rentré un peu en retard et j'ai remarqué que les choses n'étaient pas comme d'habitude.. J'ai tout de suite ressenti un froid glacial en entrant dans la pièce du fond, alors je me mis à observer autour de moi ce qui se passait... afin d'essayer de comprendre ce qui m'aarrivait ! Au début j'ai marqué un temps d'arrêt, comme happé par un tourbillon sans fin. Puis après quelques instant, je commenca à remarquer des ombres qui allaient et venaient dans les couloirs et je me demanda ce qu'ils se passait.. Je décida alors de me diriger vers le grenier, lendroit où semblait aller les ombres fuyantes.. J'ouvris le porte du grenier et je vis alors de drôles de gens, qui avaient l'air d'attendre quelque chose.. Le temps passait mais eux ne s'en souciat apparament pas et leurs gestes d'ailleurs, étaient comme au ralenti et plus ils se trouvait à la périphérie des premières marche de cet esacalier, rouillé et orné de motifs bizares. Je ne savais pas encore pourquoi ces drôles de gens, tout de noir vêtu, s'étaient rassembler ici ? |
 |
| Alors, intrigué je tente une approche un peu hésitante et puis d'un coup d'un seul, je me lance d'un pas engagé et je monte les deux 1ères marches de l'escalier lumineux... Et... à y regarder de plus près, je me rend compte que l'escalier ne repose sur rien, étonnant, fort étonnant... Mû par une irrésistible attirance vers l'intriqgue, je suis dès lors envahis par la curiositer, qui me happe, tel un appel irrésistible qui me mène vers je ne sais trop ou, mais j'y suis ok pour y grimper. Monter encore quelques marches et voir ce que je ne distingue pas encore... Vu d'en haut le bas me semble d'un coup comme déformé, les murs ont lair mouvants ? J'eu le sentiment d'être comme aspiré par le temps, mon corps était comme éttiré par une distortion et j'arriva à voir que l'escalier montais encore bien plus haut que je ne pouvais le soupçonner depuis là ou je me trouvais. J'avais l'impression nette que le temps et l'espace, à ce point d'entrée précisément, était altéré.... |
| j.l. 2008 (éb. 1c) |
/fdata%2F0315030%2Favatar.png){kind=avatar}
/fdata%2F0315030%2F%2Favatar-user-3519-tmpphpoZ61iL.png){kind=avatar}
/idata%2F0315030%2FAlbum-i-zap%2FPoussy-oeuf.jpg)
